Les Quatre Évangélistes
Les Quatre Évangélistes ont été associés à 4 animaux sur un trône. Dans ses visions, l’Apocalypse de Saint Jean, n’omet point, l’Ange ou l’homme annonçant l’Ere du Verseau. (planche 11 et 10) réalisées par l’écrivain ésotériste, Maurice Guinguand.
Apocalypse Saint-Jean, planche 11, (ci-dessus) : Visions Symboliques. 4. 1 . 6 : « Il y a devant le trône comme une mer de verre pareille à du cristal. Entre le trône et ce qu’il entoure sont quatre animaux, couvert d’yeux par-devant et par derrière. Le premier animal ressemble à un lion, le second animal à un jeune taureau, le troisième animal a le visage pareil à celui d’un homme, le quatrième animal ressemble à un aigle qui vole ».
Dans cette mandorle céleste nous pouvons placer à sa limite les constellations demeurant visibles tout au cours de l’année. Les quatre principales furent attribués aux Évangélistes deux apôtres et deux disciples. C’est ainsi qu’on les retrouve toujours aux tympans des églises romanes et gothiques mais surtout romanes.
Maurice Guinguand : « Dans l’art gothique on trouve quelques fois un ordre inversé probablement par inobservation des règles célestes. C’est très probablement l’étude de cette mandorle projetée sur la terre qui a dû donner aux ésotéristes monastiques l’idée dès le XI siècle de la voûte brisée puis de la voûte ogivale qui par elle-même apportait des facilités architecturales et des améliorations d’aérations, dans les locaux et surtout dans les caves à grains. » – (planche 12), ci-dessous.
Le visible manifeste l’invisible
On peut envisager la Volonté de Dieu (dont on n’a aucune idée) ou encore un déterminisme inhérent aux desseins du ciel, faisant que dans le système solaire rythmant les quatre saisons sur la terre, les quatre évangélistes répondent à des points spécifiques du firmament. Hasard ?
La saison du Printemps annonce le renouveau de la terre et par la voie christique, la Résurrection du Christ sur un plan supérieur et non-terrestre. Aux Quatre Evangélistes furent associés quatre animaux sur un trône. Sans oublier l’Ange ou l’homme annonçant une ère nouvelle, l’ère du Verseau. Nous y sommes.
C’est sur ce modèle, (planche 11), que Saint-Jean a basé ses visions d’Apocalypse et ces dernières n’ont rien à voir avec une quelconque fin du monde.
Les Quatre Evangiles de Jésus
Parmi les nombreux évangiles que l’Église Chrétienne avait en sa possession, celle-ci a choisi seulement quatre d’entre eux. Et, comme par hasard, les Quatre Evangiles que nous connaissons non seulement cadrent avec l’enseignement de Jésus et la Résurrection du Christ, mais également avec les positions célestes définies, voir illustration ci-dessus. C’est impensable, surtout, lorsque l’on sait que l’Église Chrétienne (catholique) a toujours voulu ignorer le ciel ! Si une telle singularité devait être prise pour une coïncidence, dans ce cas, ladite coïncidence aurait pleinement participé d’un concours providentiel et pour ainsi dire divin.
D’ailleurs, sur un plan supérieur, la configuration du ciel durant la Crucifixion de Jésus est une étape révélatrice de cette connaissance céleste ignorée justement. En effet, le visible manifeste bien l’invisible.
Ignorance
Aux dépens des cartésiens, mythistes, et autres déformateurs de la Vérité, parlons de Jésus, et des Quatre évangiles. Du point de vue de l’enseignement et du culte instauré, Jésus apparaît comme un innovateur qui dérange. C’est l’avis des docteurs de la Loi. Des Grands Prêtres hébraïques Juifs de l’époque qui le contestent depuis le début, démentant que ce Jésus, puisse être le Prophète Elie qu’ils attendaient car rien dans son enseignement n’en prouve la continuité.
A notre époque :
« Les origines du christianisme et la recherche du Jésus-Christ historique », Par « Acharya S. » :
« Autrement dit, on a démontré continuellement pendant des siècles que le personnage de Jésus-Christ, a été inventé et ne dépeint pas une vraie personne qui soit aurait été le fils de Dieu, ou qui aurait ensuite été transformée en un surhomme par ses disciples enthousiastes. »